Le corps étêté du Grand Coësre trouve à peine le temps de vaciller. Une deuxième bastos, en plein dans la clavicule, lui arrache un bras. Sous l’impact, il tourne sur lui-même, mais une troisième balle le stoppe en bout de rotation en lui fracassant l’autre...
17 mai / 18 mai
Le Salon du livre de Narbonne
1 juin
Salon du Livre de l’Agglomération Montargoise
Who shot the Sheriff?
— Ah, mais c’est dégueulasse, j’en ai plein la bouche ! Pouah ! Ptt, ptt, eurgh, je vais gerber… Ah non, je suis con, je n’ai plus de ventre… Mais c’est immonde, ça pue, ça colle, c’est amer… Orcus, s’il te plaît, enlève-moi de là. Oui, oui, c’est bien la tête...
Et le GODE cilla
Nous passons devant une guérite, dévolue à la surveillance. L’endroit est vide, vu que nous venons de massacrer tout ce qu’il contenait comme golgoths. À l’intérieur, plusieurs écrans permettent de surveiller le parking et les alentours. Mais l’un d’entre eux attire...
Maxime Gillio

Photo : Astrid di Crollalanza
Maxime Gillio a débuté sa vie professionnelle dans l’enseignement (prof de français, évidemment…) avant de rendre son tablier au bout de douze années de sacerdoce.
Désormais romancier et directeur de collection, pas moyen de quitter les lettres.
Il a longtemps privilégié le polar avant de passer à la saga historique, avec un détour par le roman feel good, quelques incartades du côté du scénario de BD, et il semble s’être installé durablement en littérature jeunesse depuis maintenant quatre ans.
Il ne faut jamais lui proposer un nouveau projet, sous peine de le voir aussitôt accepter. D’aucuns diraient qu’il est faible et ne sait pas dire non. Il préfère répondre qu’il a l’intention de mourir riche de ses expériences. Mais le plus tard possible.